Amandine
Allard
Elue pour un mandat de 2 ans, Amandine Allard a rejoint la gouvernance de l’établissement en tant que vice-présidente étudiant le 2 décembre 2021.
Voici son portrait en 2021.
Quel est votre parcours dans l’établissement ?
Je suis étudiante en licence histoire-géographie au sein de l’institut sociétés et humanités de l’Université. Dans l’associatif depuis que je suis à l’Université, j’ai été vice-présidente événementiel et social de l’association FLLASH puis présidente de cette même association. J’ai ensuite été 1ère vice-présidente à la FEV, en charge de la stratégie électorale de la défense des droits et du suivi des élus. J’ai également été élue à l’institut sociétés et humanités.
Comment appréhendez-vous votre rôle en tant que vice-présidente étudiante ?
Il y aura une continuité de projets avec mon prédécesseur Antoine Dufour, nous partageons de nombreuses idées en tant qu’associatifs. Il m’a d’ailleurs accompagnée au début de mon mandat et il est toujours disponible si j’ai des questions.
Concrètement, nous avons la chance d’être une université expérimentale, on peut la « modeler » aux attentes des étudiants et par ce mandat j’ai l’opportunité de faire évoluer les choses pour les étudiants. Je sais pouvoir agir pour orienter les actions vers ce que les étudiants attendent de leur établissement. Je suis en contact avec les élus et les associatifs qui me remontent des besoins, des idées et je vois ce que je peux faire.
Avez-vous déjà des actions en cours ?
Oui et dans des domaines très variés. Des idées m’ont été remontées et sont déjà à l’étude comme la distribution de condom cups et de serviettes hygiéniques lavables. A chaque fois la distribution sera accompagnée de pédagogie et de messages de prévention.
J’ai pris contact avec Philippe Pudlo, vice-président pour une université inclusive et solidaire afin de monter un partenariat pour le recyclage des canettes en aluminium. L’association concernée récupère ces canettes pour faire des fauteuils roulants pour les personnes en situation de précarité. C’est écologique, c’est cohérent avec la démarche de développement durable de l’université et c’est une belle action.
Je suis également impliquée dans l’université européenne Eunice. C’est une réelle opportunité pour les étudiants et j’espère que ça va pouvoir se développer de manière considérable pour que chaque étudiant en profite pleinement. J’ai entrepris de me perfectionner en anglais avant de participer moi-même aux réunions Eunice mais je suis ce dossier de très près.
Par ailleurs, j’ai à cœur d’aborder le sujet des violences sexistes et sexuelles, d’en parler et de laisser s’exprimer les gens qui ont besoin de le faire. Il y a déjà eu un événement en début d’année avec le bureau de la vie étudiante. On essaie maintenant d’organiser de nouvelles actions pour donner la parole aux étudiants. Des actions seront également menées sur le thème du harcèlement. L’idée c’est de traiter tout ce qui peut perturber les étudiants dans leurs études et essayer de leur rendre la vie meilleure au final.
Mon rôle c’est aussi d’aider les étudiants à se sentir à l’aise dans leur université !