La figura de la transclase en la literatura a través del prisma del género, la etnia y la sexualidad
Eje 3 del CRISS " Identidades : culturas, memorias, valorización "
En Les transclasses ou la non-reproduction, Chantal Jaquet aborda la homosexualidad como posible desencadenante de la movilidad social de ciertos individuos, sumándose a los trabajos de Didier Éribon en este sentido.Aunque habla de sexualidad, la filósofa francesa omite, aparte de una breve mención en las últimas líneas de su ensayo, dos dimensiones probablemente igual de importantes: el género y la etnia. Por ello, uno de los objetivos de esta jornada de estudio es hacer visibles estos dos aspectos y medir su influencia en el paso de una clase social a otra. ¿Las chicas obtienen mejores resultados que los chicos porque juegan más al "juego de la escuela", como tienden a demostrar los datos franceses? Por otra parte, ¿no están sometidas a otras limitaciones que los hombres y, en última instancia, se enfrentan a un techo de cristal? Salvo algunos estudios, la cuestión étnica rara vez se ha tenido en cuenta en Francia. ¿Refleja la movilidad de estos jóvenes especificidades particulares Se ve obstaculizada por discriminaciones vinculadas a sus orígenes?
.Requiere inscripción para personas ajenas a la UPHF que deseen asistir presencialmente: @email
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Le 13/09/2023
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14:00 - 17:30
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Jornada de estudio
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Les Tertiales
Sala de conferencias
Dans Les transclasses ou la non-reproduction, Chantal Jaquet évoque l’homosexualité comme un possible déclencheur de la mobilité sociale chez certaines personnes, rejoignant en cela les travaux de Didier Éribon. Si elle aborde la sexualité, la philosophe française omet, mise à part une brève mention dans les dernières lignes de son essai, deux dimensions vraisemblablement aussi importantes : le genre et l’appartenance ethnique. L’un des objectifs de cette journée d’étude est donc de rendre visibles ces deux aspects et de mesurer leur influence sur le passage des classes sociales. Les filles réussissent-elles mieux que les garçons car elles jouent davantage le « jeu scolaire », ce que tendent à montrer les données françaises ? Ne sont-elles pas soumises, en revanche, à d’autres contraintes que les hommes et, finalement, confrontées à un « plafond de verre » ? De son côté, à l’exception de quelques travaux, la question ethnique n’a été que rarement prise en compte en France. La mobilité de ces jeunes obéit-elle à certaines spécificités particulières ? Est-elle entravée par des discriminations liées à leurs origines ?
Inscription obligatoire pour les personnes hors UPHF qui souhaitent assister en présentiel : @email
- 14h-14h15 : Ouverture
- 14h15-15h : (communication + questions)
Gregor Schuhen (Rheinland-PfälzischeTechnische Universität Kaiserslautern-Landau) « Les superhéros à la française » ? Quelques remarques sur le discours actuel sur les transclasses et la place de la littérature
- 15h-15h45 : (communication + questions) Ana Belén Soto (Universidad Autónoma de Madrid) Poétique de l'entre-deux dans l'édifice autofictionnel de Maryam Madjidi
- 15h45-16h : Pause
- 16h-16h45 : (communication + questions)
Lea Sauer (Rheinland-PfälzischeTechnische Universität Kaiserslautern-Landau) « Je m'appelle Fatima Daas ». Autofabulation et création de soi
- 16h45-17h30 : (communication + questions)
Lars Henk (Rheinland-PfälzischeTechnische Universität Kaiserslautern-Landau) Comme nous existons (2021) de Kaoutar Harchi. Récit intersectionnel d'une transclasse
- 17h30 : Remerciements et conclusion